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mardi 7 décembre 2010

Intégrer Twitter à son blogue

Sans aucun doute, l’explosion des outils technologies reliés au web social a connu une expansion extraordinaire, surtout avec Facebook. Sachant que plusieurs personnes « ’ twitte »’ dans la journée, il devient intéressant de jumeler la plateforme Twitter directement dans son blogue. Ce qui permettra d’émettre un gazouillis dans la journée et de le détailler dans la soirée. Voici 10 façons intégrer Twitter dans votre blogue.
1.    Le bouton Tweet This
Disponible sous la forme d’un plug-in pour WordPress (aussi pour Joomla et Blogger), ce bouton permet aux internautes de poster leurs articles préférer sur Twitter. Le bouton Tweet This est à Twitter ce que les bontous « ’Digg »’ sont à Digg. Ce qui devient un « ’ booster »’ de visibilité pour le blogue.
2.    Le bouton Retweet
Proposé par Tweetmeme, sous la forme d’un plug-in WordPress ou autonome. Un clic sur ce bouton permet, comme dans le cas précédent, de publier sur Twitter un article que l’on apprécie. Ce bouton  qui affiche le nombre de retweet dans son compteur est donc un indicateur qui permet de mesurer la pertinence d’une information.
3.    Le compteur de suiveurs (followers)
Ce compteur Twitter permet d’indiquer aux visiteurs de son site combien de personnes la suive sur Twitter.   À la manière d’un compteur d’abonnés RSS.
4.    Le bouton suiviez-moi sur Twitter
Le bouton suiviez-moi sur Twitter est venu progressivement s’ajouter à la panoplie d’outils de fidélisation que proposent plusieurs blogueurs à leurs lecteurs. Aucun règle ni besoin de plug-in. Il s’agit d’ajouter une image, de la mettre visible et de pointer vers votre compte Twitter
5.    Afficher ses derniers tweets sur son blogue
Pour ceux qui sont actifs sur Twitter et qui veulent faire profiter aux visiteurs de leur site des derniers messages postés sur Twitter sans quitter celui-ci. L’affichage des derniers tweets peut se faire de plusieurs façons, soit à l’aide d’un plug-in wordpress, soit directement en utilisant un widget proposé par Twitter. Possède donc l’avantage d’être installé sur n’importe quel site à l’aide d’un copier-coller.
6.    Un message dans Twitter = un billet dans votre blogue
Une fonction qui consiste à intégrer les messages que l’on poste dans Twitter directement et automatiquement dans un blogue, comme étant un billet à part entière. 
7.    Les trackbacks (pisteurs)Twitter
Quand on publie un article sur son blogue, une petite partie des commentaires et discussions liés à cet article se disperse ailleurs, notamment dans Twitter. L’idée des « ’ trackbacks »’ est d’afficher automatiquement sous un article de blogue les commentaires qui s’y rapportent et qui ont été publiés non pas sur le blog mais sur Twitter. 
8.    Les meilleurs Twitter sur votre site
Une fonction très intéressante rendue disponible sous la forme d’un widget (tweetmeme). À l’aide de ce widget, en copiant-collant simplement un bout de code où vous voulez dans votre site, vous pouvez afficher les infors les plus récentes ou les plus populaires publiées dans Twitter.
9.    La page dédiée « ’lifestream »’ ou microblog
Plutôt que d’afficher ses derniers tweets sur la page d’accueil de son site, au risque de la charger encore plus, on peut aussi faire le choix de créer une page dédiée. Celle-ci aura bien sûr moins de visibilité, mais permettra aux visiteurs de votre site d’avoir une vue rapide sur vos derniers messages.
10.  Utilisés son avatar Twitter dans les commentaires de blogues
Un vrai truc de geek passionné de personnalisation à outrance. Allez vois chez Smasing magazine pour la démarche : http://www.smashingmagazine.com/2009/01/08/twitter-avatars-in-comments-wordpress-plugin/


les outils relatifs aux blogues

Pour faire suite au module 3 qui traite des blogues, je partage avec vous d’autres technologies de l’information et de communications. Il pourrait s’agir de jargon technologique pour certain, par exemple, les carnets web (blogue), les wikis, le balado et le vodcasting, qui sont en majorité assez nouvelle. Le plus ancien est certainement le wiki, qui a été créé en 1995. Pour poursuivre, je vais présenter des outils, outre le blogue qui est bien détaillé dans le module 3. Pour débuter, qu’est-ce qu’un wiki. D’origine hawaïenne, le concept de wiki existe depuis plus d’une dizaine d’années, c’est seulement au cours des dernières années que les wikis ont pris de l’ampleur. Le plus connu est appelé Wikipédia. Un wiki est une application web permettant aux utilisateurs d’ajouter un contenu, comme sur un forum, mais permettant aussi à n’importe qui d’éditer le contenue, ce qui fait passer à un autre niveau la collaboration et le travail en groupe. Pour poursuivre, le balado (podcast) n’est pas une nouvelle manière de se balader. Une manière de décrire le balado, c’est de considérer que l’on possède sa propre station radio très personnalisée. Une station où on choisit exactement ce qu’on veut écouter, mais où on peut aussi faire entendre sa propre voix. Le balado c’est aussi une manière de publier des fichiers sonores sur le web et de télécharger des fichiers provenant de sources auxquelles vous êtes abonné. Meng (Meng 2005), décrit le balado comme le processus consistant à capter un événement audio, une chanson, des paroles ou un mélange de sons, puis d’afficher cet objet sonore à un site web ou un carnet web (blogue). Le vodcasting est presque identique, sauf que le contenu est en vidéo. Voici en résumé la compréhension que j’ai faite des différents outils qui se regroupent nécessaire avec d’autres outils afin d’améliorer ou d’augmenter la qualité, le partage d’information. 

lundi 6 décembre 2010

Blogue d'entreprise

J’ai décidé ici de présenter une démarche afin de favoriser l’implantation d’un blogue d’entreprise.  Première étape serait de comprendre ce qu’est un blogue.  Voici les grands thèmes d’un blogue :
1.       Moyen technique
2.       Une culture qui mise sur l’interactivité, l’authenticité, la spontanéité et la transparence
3.       Une stratégie de communication
4.       Écouter
5.       Participer et interagir
Afin de permettre une meilleur adoption de la part des employés, ou du moins permettre un certain apprentissage afin que ceux-ci s’approprie de cette technologie et que l’entreprise puisse bénéficier d’un nouveau segment de communication.  Il faut débuter par
1.       Fixer des objectifs
a.       Dialogue directement avec les clients
b.      Humaniser l’entreprise
c.       Tester des idées de produits/services
d.      Attirer des employés/fournisseurs
2.       Trouver des indicateurs de succès
a.       Le nombre de fréquentation : nombre de participant de billets
b.      Les intérêts : nombre de commentaires
3.       Définir le public cible
a.       Blogue interne : pour des projets, événements, activités sociales
b.      Blogue externe : domaine de l’entreprise
4.       Trouver un sujet et un nom au blogue
a.       La culture de l’entreprise (exemple Microsoft)
b.      La mission de l’entreprise
c.       Les secteurs d’activités (exemple GM)
d.      Des projets futurs
e.      Les produits offerts
5.       Trouver les participants au blogue
a.       Les employés
b.      Les spécialistes
c.       Les dirigeants
d.      Les départements de l’entreprise
6.       Obtenir le soutien et l’implication de la haute direction
a.       Est-ce compatible avec la culture de l’entreprise
b.      Encourager les employés à bloguer (exemple Sun Microsystems)
c.       Coordonner avec d’autres services
                                                               i.      Marketing
                                                             ii.      Ressources humaines
                                                            iii.      Finances
7.       Évaluer l’investissement temps
a.       Modération des commentaires
                                                               i.      Gestion des blogues
b.      Gestion des liens externes
c.       Tenir compte des autres obligations des employés/dirigeants
8.       Établir une charte du blogueur
a.       Tenir compte du type d’entreprise
b.      Tenir compte de l’environnement politique et législatif
c.       Découvrir les meilleurs pratiques
9.       Choisir son infrastructure technologique
a.       Logiciel payant ou gratuit
b.      Hébergées ou non
10.   Promouvoir le blogue
a.       Bouche à oreille
b.      Lien avec d’autres blogues
c.       Intégration aux outils de marketing
d.      Moteur de recherche
Voici, présenter sommairement, un cheminement qui pourrait favoriser l’utilisation d’un blogue dans votre entreprise.



La multiplication des sources et Wikipédia

Durant les dernière années, dû à l’augmentation significative de son contenu et  de ses articles de qualités, Wikipédia est devenu l’incontournable pour des millions d’utilisateurs.  Développer sur la plateforme source ouverte,  MediaWiki, Wikipédia a été le pionnier de la collaboration de contenu libre.  Elle se décrit comme étant une encyclopédie libre, universelle et multilingue écrite collaborativement sur Internet.  Elle cherche également la neutralité de point de vue.  Lancé en 2001, Wikipédia devient vite un succès foudroyant, plus de 6 millions d’articles dont plus de 400 000 en version française et en plus offert en 120 langues.  Malgré cet engouement pour Wikipédia plusieurs risques peuvent émergés de ce type de média.  En voici une suite :
1.       Exactitude : on ne sait pas quelle information est exacte et celle qui ne l’est pas (désinformation)
2.       Motif : on ne connait pas les buts des contributeurs, qui peuvent être autant politiques, commerciaux et peut être même des blagues ou des vandales
3.       Expertise incertaine : Certains contributeurs outrepassent leur champ d’expertise pouvant relayer des rumeurs ou de fausses informations sans que l’on puisse connaître leurs expertises ou que l’on puisse contrôler les sources
4.       Volatilité : des corrections peuvent être supprimées, rendant les articles instables, sans que l’on sache bien quelle version citer
5.       Couverture : L’encyclopédie actuelle reflète les intérêts des contributeurs, notamment dans tout ce qui est lié à l’informatique.
6.       Sources : Beaucoup d’articles ne citent aucune source indépendante et peu en citent qui ne sont pas liées à Internet
Ces risques sont bien réels, on constate que l’encyclopédie, telle qu’elle se présente à l’heure actuelle, arrive à faire face à une bonne partie d’entre eux.  Alors que sa qualité devrait être médiocre, il semble qu’il n’en est rien et que pour les articles scientifiques, elle a un taux d’erreur un peu supérieur mais comparable aux grandes encyclopédies comme Britannica, erreurs qu’elle est à même de corriger beaucoup plus rapidement lorsqu’elles sont signalées.

Un Facebook pour les riches

Depuis la popularisation des réseaux sociaux, aucune distinction n’était faite sur la base de la richesse personnelle ($$). Tout le monde était sur le même pied d’égalité à l’intérieur des frontières virtuel, comme Facebook. Malgré tout, le temps n’est plus et selon le magazine Forbes plusieurs réseaux sociaux ont vues le jour et n’exigent pas moins d’être riche afin d’y accéder.   L’adhésion n’est pas de tout repos. Un comité de sélection qui est chargé de sélectionner les meilleurs candidats. Passant par les accomplissements professionnels, au salaire gagné annuellement, à la grosseur de leurs maisons, au nombre de voitures qu’ils possèdent. Ce comité va jusqu’à même demandé de parler de leurs parents, s’ils étaient eux-mêmes riches et j’en passe. À titre d’exemple, le site the sphere à choisit seulement 400 candidats sur un totale de 6000 candidatures envoyées. Ce n’est pas facile d’être riche!

Voici quelques sites

La diffusion de l’information et l’opinion publique

Suite au déboire de l’industrie de la construction, de l’information de masse à envahie les médias, mais est-ce que la population en générale, font de cette information, leur propre opinion ou bien, adopte-t-elle l’opinion des médias? Pour ma part, je crois que la population adopte l’opinion des médias. Prenons comme exemple, la commission d’enquête sur la construction tant demandée par la population. Posons-nous seulement deux questions à savoir, quels sont les avantages d’une commission d’enquête et quels sont leurs inconvénients? Premièrement, l’avantage d’une commission d’enquête est sans aucun doute, la possibilité de la population de suivre l’avancement de l’enquête. On peut prendre comme exemple la commission Bastarache et qui grâce au média, le déroulement de celle-ci a été sujet d’actualité et médiatisé à outrance. L’autre avantage, encore discutable, est de permettre par la diffusion de la commission d’enquête, de rassurer la population face au gouvernement en place et leurs soucis de transparence. Par contre, outre l’aspect politique que procure une commission d’enquête, il existe quand même des inconvénients non négligeables, en terme légal. Pour débuter, lorsqu’un une commission d’enquête début, il existe une clause d’immunité accordée aux témoins clés, qu’ils soient coupables ou pas. Alors, malgré que les témoins, les défendeurs ou autres sont, à la suite de la commission d’enquête et la rédaction du rapport final, coupables il n’en demeure pas moins qu’il devient impossible d’entreprendre d’autres recours judiciaires contre eux. Un autre élément qui n’est pas souvent mentionné dans les médias, est que lorsqu’un témoin à appeler à témoigner, il doit être obligatoirement être au courant des preuves que la couronne ou la défense possèdent. En dévoilant des preuves, cela devient facile pour un groupe de personnes de s’adapter à ces preuves et de fausser des témoignages. Finalement, en dévoilant des preuves d’autres personnes clés peuvent également, à leurs tours en faires disparaître afin d’éviter d’être au banc des accusés. Pour ma part, je suis pour une enquête policière dans l’industrie de la construction. Ils pourront amasser de nombreuses preuves ce qui permettra par la suite de poursuivre adéquatement les personnes visées afin qu’ils fassent face à leurs déboires.

jeudi 25 novembre 2010

Les réseaux sociaux vont-ils déclasser les courriels ?

Une bonne question que je me pose, dont la finalité peut sembler un peu sombre. Est-ce que les réseaux sociaux vont devenir un outil de plus en plus utilisé dans les entreprises comme canaux de communication? Selon une étude faite par l’analyste Gartner, 20 % des entreprises s’appuieront sur les réseaux sociaux pour gérer leurs communications professionnelles en 2014. Sachant qu’actuellement plusieurs cas ont fait surface dans les nouvelles, comme quoi les employeurs utilisent Facebook afin de déterminer l’embauche d’une personne. Et l’inverse se produit également lorsqu’un employé est renvoyé. En utilisant un réseau social comme support communicatif, n’est-il pas dangereux d’y exposer une certaine propriété intellectuelle de l’entreprise? Je crois qu’un grand danger, dans l’utilisation d’un réseau social, comme palliatif au courriel, est à prévoir dans le sens où un certain standard de sécurité doit être respecté par l’entreprise. Non pas au niveau sécurité dont la connotation piratage s’y accroche, mais dans le sens de la divulgation d’information sensible. Sachant également que contrairement à la messagerie électronique, les amis des mes amis sont mes amis dans un réseau social. Alors, devra-t-il être interdit d’utiliser un réseau social en entreprise? Seul l’avenir nous le dira. D’ici là probablement que d’autres plateformes, basées sur les réseaux sociaux, verront le jour en étant spécialisé pour les entreprises, si ce n’est pas déjà fait?

Windows live messenger 2011: un agrégateur

Avec l’explosion des réseaux sociaux comme Facebook et LinkedIn, il est sans doute nécessaire de dire que de passer d’une plateforme à une autre peut devenir dérangeant.  Malgré tout, avec la nouvelle version de Windows live messenger 2011, on voit apparaître un agrégateur de réseaux sociaux.  Ayant la possibilité de concentrer toutes les informations provenant tant de facebook, LinkedIn, Youtube, MySpace et j’en passe, cette nouvelle version permet donc de rassembler tous vos réseaux sociaux à une seul place.  Pour en savoir plus sur WLM 2011 voici une bonne lecture : http://www.espace-microsoft.com/fr/actualites/21124-decouvrez-nouveau-windows-live-messenger-2011.html

Arme de marketing massive : les objets sociaux

Aujourd’hui avec l’explosion du web social, sans mentionner Facebook et Twitter, le marketing se déplace maintenant en ligne et se répercute dans les industries. Donc, actuellement l’approche de promouvoir un site en fonction d’un objet social devient de plus en plus un moyen de capter le lecteur. Ce qui permet d’y connecter des gens ayant des centres d’intérêt commun. Selon Jyri Engeström qui a en effet depuis déjà de nombreuses années parlées de ce moyen de rassemblement, celui-ci souligne 5 règles, qui encore aujourd’hui, ont résisté à l’épreuve du temps
1.       Définissez votre objet : le plus facile et en même temps le plus important. Celui-ci sera au centre de votre réseau social.
2.       Définissez vos actions : Qu’est-ce que vous voulez inciter, pour le client, avec votre objet.  Par exemple, partagé (photo), commenté (blogue), regardé (vidéo).
3.       Partager les objets : il faut faciliter le partage des objets, surtout dans l’univers du web social où le partage est primordial.
4.       Transformer les invitations en cadeau : Ne pollupostez pas vos futurs usagers par des pourriels, faite plutôt comme Skype dont l’achat donnait droit à en offrir un autre à un ami.
5.       Faites payer les éditeurs, pas les spectateurs : Faites payer ceux qui utilisent activement les contenus partagés, qui en plus tirent une valeur d’une façon ou d’un autre.

vendredi 29 octobre 2010

Attaque informatique et la Chine

L’intervention du gouvernement, sera sans aucun doute, nécessaire afin de régulariser l’utilisation d’internet. Ceci peut passer tant, par la mise en place de passeport numérique, que par la conscientisation sociale de l’identité numérique (voir ancien blogue). Par contre, la nouvelle génération d’utilisateur semble s’être approprié ou du moins font paraitre qu’ils ont acquis une certaine compréhension de l’utilisation du web social. Malgré que cette nouvelle génération, possédant certainement une connaissance supérieure aux utilisateurs plus âgés, il n’en reste pas moins qu’un problème subsiste, c’est-à-dire la protection de l’information. Même avec les moyens de protection les plus sophistiqués, il est évident, qu’à la lumière que dégage maintenant le pirate, qui selon moi n’est plus celui opérant seul, mais bien des groupes désirant exploiter un filon d’or. La protection tant des identités que des propriétés intellectuelles seront, dans un avenir rapproché, le cheval de Troie pour le gouvernement.   Prenons le cas de Google1 et la Chine. Google affirme avoir été, à mainte reprise, la cible d’attaque provenant, dans la plupart des cas, de la Chine. Que devons-nous comprendre des ses affirmations? Est-ce que la Chine veut s’approprier des connaissances ou propriétés intellectuelles? Où est-ce l’agissement d’une personne ou d’un groupe isolé voulant s’attaquer, moyennant un somme, à des entreprises dans ce cas-ci Google? Est-ce qu’il y a réellement une intervention du gouvernement chinois dans ses attaques? Difficile à dire, surtout que cette situation implique l’empire du Milieu qui est un des pays le moins transparent. De plus, Google semble avoir épuisé ses moyens de pression sur la Chine, elle opte maintenant de l’appui des gouvernements. Sachant également que le poids de la Chine sur internent est énorme, c’est-à-dire un marché non négligeable avec plus de 200 millions d’utilisateurs. Est-ce une bonne approche d’exposer au grand jour la situation problématique que représente la Chine.  Il ne faut oublier, que la Chine exerce une forte pression sur la liberté d’expression2 et qu’il n’est pas rare d’y voir régulièrement l’intervention de l’état dans les blogues et dans la censure des moteurs de recherche et plus particulièrement celui de Google. Est-ce qu’une force politique pourra faire plier la Chine, je crois que non. Avec la réglementation actuelle il est impossible, selon moi, quel la diplomatie puisse avoir un impact. Avons-nous toujours un internet libre? Et même ici, au Canada, est qu’il existe de la censure? Des questions qui nécessitent certainement un approfondissement!  Malgré tout cela Google s’est rendu à l’évidence que même les gouvernements ne peuvent s’immiscer dans l’empire du Milieu. Finalement, tout récemment Google a finalement renouveler3 sa License en Chine, comme quoi 200 millions d’utilisateurs est plus profitable que ce battre pour une cause qui semblait perdue d’avance!




jeudi 28 octobre 2010

Hacker amateur, sont-il vraiment des amateurs?

Les moyens de protection logiciels deviennent de plus en plus obsolètes. C'est-à-dire, que la globalisation de l'information fournit une source de références aux Hackers ce qu'il leurs permet de facilement contourner les moyens de protection.   L’exemple le plus frappant de ce fléau est la possibilité que les concepteurs de jeux abandonnent la plateforme PC. Pourquoi me direz-vous et bien c’est simple. Un ordinateur fonctionne exclusivement avec de logiciel et ces composantes physiques lui confèrent donc de la vitesse et espace de stockage et les moyens de protections se limitent à des logiciels. Du côté d’une console, bien qu’elle fonctionne également avec des logiciels et se protège aussi avec ceux-ci, il ne faut oublier qu’il existe également des moyens de protection dite physique. C’est-à-dire, qu’une pièce physique qui communique avec les logiciels garantissant ainsi un niveau supérieur de sécurité. Alors est-ce qu’aujourd’hui il serait raisonnable de comparer un pirate amateur à quelqu’un qui est dans son sous-sol ou bien voilà ici une entreprise lucrative? À vous de décider !  Pour vous aider, regarder les liens plus bas.   

Liez cet article pour vous éclairer :
http://levelfive.fr/le-piratage-va-nous-faire-crever-mouhouhou/

Regardez ce vidéo : est-ce vraiment un pirate amateur.  Le premier à avoir piraté les systèmes de protection physiques de Dish Network et Bell express vue (Nagra 2)
http://www.youtube.com/watch?v=tnY7UVyaFiQ

Cyber shockwave

Aujourd'hui avec les technologies de l'information, le piratage devient réellement une menace nationale. Les États-Unis, un des premiers pays à simuler une cyberattaque et ont laissée ceux-ci avec un amer goût de défaite. Les résultats sont désastreux, ce projet appelé cyber shockwave à réussit à démontre de nombreuses faiblesses résultantes d’une attaque. Perte de l’électricité, perte de l’internet, perte des communications satellite et j’en passe. Suite à cette courte mise en situation, je reviens sur un de mes blogues dans lequel je mentionnais la nécessité d’une intervention de l’État afin d’encadrer la sécurité et le vol d’identité. Et bien dans la simulation cyber shockwave, les États-Unis à échoués à se défendre, non pas à cause d’un manque de ressources, mais en grande partie à cause des lois en place. En effet, le gouvernement n’a pas le privilège d’accéder à des postes privé, c’est-à-dire accéder à distance à un ordinateur dans une entreprise privée. Je vous laisse réfléchir sur le peut-être d’une prochaine guerre mondiale, et cette fois-ci virtuelle.

Lien cyber shockwave :
http://www.generation-nt.com/usa-cyberguerre-cyberattaque-cyber-shockwave-simulation-actualite-961771.html

vendredi 15 octobre 2010

Les ressources en cas de vol d'identité

Suite à ma série de message concernant le vol d'identité, je me suis demandé, si le canada, avait des ressources disponibles pour les citoyens afin de se protéger et s'informer d'un vol éventuel ou bien se diriger vers les bonnes ressources en cas d'une usurpation d'identité. Suite aux recherches effectuées au sein des différents sites du gouvernement canadien, je suis tombé sur le site du gouvernement québécois suivant (http://monidentite.isiq.ca/visitez_autres_sites/vol_identite.html) qui rassemble les ressources disponibles afin de se renseigner pour le vol d'identité. Ce site fait suite à une série de publicité que le gouvernement Québécois diffuse sur les réseaux télévisés. 

Voici un lien vers un pub : http://www.youtube.com/watch?v=Ad6EhU_kf-g

Un passport numérique

Encore un sujet d'actualité et toujours aussi peu réglementée, l'identité en ligne représente un fléeau et une barrière de l'utilisation d'internet et du e-commerce.  Le vol d'identité peut avoir de grave répercution tant sur la vie personnel que professionnel.  Sachant qu'aucune réglementation sur l'utilisation d'un identité n'est reconnu par un État, par où faut-il débuter afin d'encardrer cette problématique. Suite à la 10ème édition des assises de la sécurité des systèmes d'information, Kaspersky à de nouveau lancé l'idée d'émettre des passport qui serait un premier pas vers une identification officilement reconnu par un gouvernement afin d'encadrer l'utilisation d'internet.  Suite au blogue sur le vol d'identité et l'intervention de l'état, cette apporche ne sera, selon moi, envisageable seulement si un intervention des différent gouvernement international afin de créer un système uniforme.  Est-ce le début d'un police du web?

http://techno.branchez-vous.com/actualite/2010/10/passeport_virtuel_internaute-kaspersky-securite-internet.html

dimanche 10 octobre 2010

Identité en ligne, un apprentissage

Faut-il apprendre à contrôler notre identité en ligne? Est-ce que cet apprentissage passe par une institution ou bien est-ce une démarche personnelle? Toutes des questions à laquelle il est présentement difficile de répondre. Bien que plusieurs sujets traitent de l'identité en ligne, beaucoup de gens ne perçoivent pas la portée de leurs paroles, identité et point de vue sur le web. Une approche, qui selon moi, sera à privilégier est l’intervention de l’état dans l’apprentissage de la définition de l’identité virtuelle. Par exemple, l’ajout d’un thème portant sur l’identité sur le web à l’école serait une bonne façon de conscientiser les jeunes utilisateurs, qui sont souvent les plus à risque. D’un autre côté, il ne faut pas oublier les personnes moins familières avec le web social et plus particulièrement avec la plateforme Facebook qui touche plus de 400 millions d’utilisateurs. Finalement, bien que répondre à cette question semble actuellement difficile, je crois que l’état devra jouer un rôle prédominant dans ce nouvel univers. Pour terminer, voici une vidéo très intéressant sur la facilité avec laquelle une personne peut se faire voler son identité :